Voir la France pleurer (version IA)

Une nouvelle reprise par l'IA d'une de nos chansons. Sorte de pavane un peu primitive, triste mais aussi majestueuse, paisible, résolue, déterminée... Nous l'avions sortie, il y a plusieurs mois de ça, sans la référencer (comme nos autres titres réalisés par IA). Nous décidons aujourd'hui de la publier et nous la dédions comme un hommage à #Philippine et sa famille. En souhaitant que ce drame soit l'occasion pour la France, après avoir encore pleuré, de se relever, ou du moins se réveiller. --- 11 mars - Journée nationale d’hommage aux victimes du terrorisme Les victimes des attentats sont-elles de simples victimes de regrettables faits divers, ou les victimes collatérales des folles politiques immigrationnistes et mondialistes de nos dirigeants ? #terrorisme #oqtf #justice #lola #philippine --- Nous comptons sur vous pour vous abonner, aimer, commenter et partager. Et pas de téléchargement svp ! Vos vues sont notre seule rétribution et un grand encouragement pour nous !... Merci d'avance !... --- Voir la France pleurer Texte et musique : © Les Pestiférés Piste audio (voix et instruments) générée par « intelligence artificielle » () Reprise par l'IA d'un de nos titres précédents : --- 1. Bien-sûr les longues marches blanches Feront du drame une occasion De nous prêcher la résilience D'instaurer la résignation. Bien-sûr, les minutes d'un silence Assourdissant de lâcheté Pour solenniser l'impuissance Et laisser la France pleurer. 2. Bien-sûr, les discours, les hommages A celui qui vient de tomber Sous des cris et coups d'un autre âge Héros d'un jour, victime à jamais. Eût-il reçu tant de louanges S'il eût vaincu le forcené ? (Non…) Ç'eût été défier ceux qu'arrange De laisser la France trembler. 3. Bien-sûr ils entendent la détresse Comme le lointain bêlement Du troupeau que le soir on laisse A la merci des chiens errants. Ils ricannent de notre peur même Comme d'un sentiment fantasmé Juste nous garder des extrêmes Et laisser la France sombrer. 4. Bien-sûr ils déplorent la perte D'un vieillard, ou même d'un enfant Quand déjà tant de lois perpètrent Le sourd et lent effacement. Que les emporte la vengeance D'un destin trop longtemps bafoué Et que face à leur arrogance On voie la France se relever.