Б. Гребенщиков - Кони беспредела
Nous avancions, colline après colline,
Puis, nous cassâmes un essieu ;
Nous nous extirpâmes à croupetons, l’uniforme voletant
Petits soldats de l’amour – yeux bleus...
Comme cela leur pris, ils nous emmenèrent par d’étranges sentiers
Nous emmenèrent, nous amenèrent et, alors que je regardai,
Je vis un oiseau pâle aux yeux damnés;
Chante-moi donc, l’oiseau, Peut être que je vais danser...
Chante-moi l’oiseau, est ce doux à l’âme d’être sans corps ?
Est-ce aisé d’être un oiseau, mais sans chanter