Se libérer de la matrice : un exemple !

La fraude au nom légal ou le dol de l'acte de naissance est une réalité méconnue sur laquelle tout le système marchand est fondé. Nous y sommes une marchandise. Cette vidéo offre une perspective sérieuse d'échappatoire ! Sur Terre, le... (date) « Prénom » de la famille « Nom » (à gauche) Être libre et vivant adresse à (à droite) L’être qui joue le rôle DE COMPTABLE PUBLIC par délégation au Tribunal DE POLICE de XXX adresse code postal Ville Vos références (à gauche) XYZ Objet: Contestation de la contravention initiale jamais reçue et de votre condamnation pénale sans passer par l'étape d'un jugement équitable, tout ceci s'apparentant ainsi à une tentative d'extorsion illégale. Je suis « Prénom », l’être vivant qui administre la personne juridique nommée 3NOM PRENOM3 créée par la prétendue société RÉPUBLIQUE FRANÇAISE PRÉSIDENCE (SIREN 100000017, D-U-N-S. NUMBER Siret international N°542472212-SIC9199). J’ai bien reçu l’avis du 13,11,2023 adressé à ma personne juridique concernant une prétendue contravention établie par la soi-disant société DIRECTION GÉNÉRALE DE LA POLICE NATIONALE (SIREN 120 015 011). Or soyez dûment et officiellement informés que le 29,08,2022, je circulais (ou un ami, ou ma femme, qui sait) je circulais supposons-le, en tant, quoi qu'il en soit, qu’être vivant libre qui réserve mon droit de ne pas reconnaître cette entité légale fictive qui, d’après vous, vous serait redevable de la somme totale de 91 euros. Moi, être vivant, de chair d’os et de sang ne suis pas une société, et ne suis pas placé sous le contrôle du droit maritime. JE-NE-RECONNAIS-PAS-CETTE-PERSONNE-JURIDIQUE. JE-NE-RECONNAIS-PAS-LA-DETTE. JE-NE-COMPRENDS-PAS. (centré) (suite dans les commentaires) Je vous rappelle que d’après les textes qui encadrent votre activité au sein de ces administrations forcloses que vous servez, l’ du code civil dispose que : «Celui qui réclame l'exécution d'une obligation doit la prouver» Aussi je m’acquitterai volontiers de la dette que vous semblez croire que j’ai envers vous quand vous m’aurez apporté la preuve que je vous suis effectivement redevable de cette somme qui me permet de subvenir à mes besoins pour une vie décente et digne. Je vous demande de me fournir : La preuve que vous avez bien autorité sur moi, Roland, être vivant et libre. La preuve que vous avez autorité pour bafouer mon droit à la reconnaissance de ma personne juridique tel qu’énoncé dans la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme. La preuve que vos administrations ne sont pas forcloses La copie du contrat qui me lie à votre administration signé par les deux parties, un contrat unilatéral étant irrecevable. La copie des écritures comptables de votre administration (forclose) qui prouve les pertes réelles que vous réclamez d’un total de 91 euros. La preuve légale que le Code la Route prévaut sur la Constitution Française à laquelle vous répondez et laquelle reconnaît la Déclaration des Droits de l’Homme. La preuve que mon être vivant était bien le conducteur de la dite voiture. La copie de la ou les plaintes des victimes à qui j’aurais porté préjudice. Un défaut de réponse expresse adressé à Moi, l’être vivant fait de chair et d’os, “Prénom“de la famille “Nom“, dans un délai de 10 jours à compter de la réception de ce courrier par un courrier comportant un nom et un prénom, signé de votre main, me fournissant les informations demandées, constituera la verbalisation nulle et non avenue ainsi qu’un accord de votre part dont voici les conditions générales : vous, « le comptable public, par délégation » ou tout autre entité juridique fictive, n’avez aucune autorité sur moi, être libre de chair et de sang, vous reconnaissez le caractère illégitime de cette tentative d’extorsion que vous suspendez. Vous vous rendez coupable de racket en faisant suite à cette contravention qui prétend me priver du moyen de subvenir à mes besoins fondamentaux Vous vous rendez coupable et complice de violation de mes droits inviolables, inaliénables, imprescriptibles de liberté, de propriété, de libre circulation, de sûreté et de disposer de mon corps.